Nous sommes opposés au pass sanitaire depuis le début. Il peut donner un faux sentiment d’immunité et générer un relâchement des gestes barrières. En matière de vaccination, nous restons alignés sur ce que dit l’OMS depuis le début : privilégier la conviction à la contrainte.
L’OMS nous dit qu’en privilégiant une troisième dose sans appréhender la pandémie dans son caractère mondial, on prend le risque de l’apparition de nouveaux variants. Et pourtant, deux ans après le début de la pandémie, rien ne change. Macron l’avait promis, le Parlement européen l’a voté, mais ni la France, ni l’UE n’agissent concrètement pour lever les brevets sur les vaccins.