Le texte crée un nouveau délit, celui de mise en danger de la vie d’autrui par la diffusion, dans un but malveillant, d’informations relatives à la vie privée. C’est la porte ouverte à la censure des journalistes et des citoyens.
Du pur recyclage de la loi Avia. Le cyberharcèlement et la menace en ligne sont déjà interdits !