Pour Boris Johnson, câest la puissance du capitalisme et son appĂ©tence pour le risque qui ont permis de dĂ©velopper les vaccins.
Il oublie cependant que le soi-disant risque pris par les laboratoires pharmaceutiques a Ă©tĂ© grandement amorti par des financements massifs et dâimportants contrats dâachat anticipĂ©s financĂ©s de la part dâEtats.
Il oublie Ă©galement que câest cette mĂȘme « puissance capitaliste » qui nous a conduit droit dans le mur et quâelle est aujourd’hui un frein massif Ă un accĂšs universel aux vaccins.